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Des sourires, de la joie, des buts, des contrôles, des chutes, des ballons qui volent .. il n’y a pas a dire, c’était bien la rentrée sur les terrains de football pour la section de sport adapté des Croisés de Bayonne.
Samedi 4 octobre, 6 heures de football pour la Sections de sport adapté des Croisés de Bayonne. 6 heures partagées entre entrainements et différents jeux. Nombreux étaient présents pour cette reprise. En plus des habitués de Bayonne, l’équipe de Saint Palais, composée d’adultes, a fait le déplacement pour partager les joies du sport. Seul hic, l’équipe de Pau n’a pu se rendre à cette journée, faute de participant.
Nous souhaitons une belle et longue saison à ces deux équipes. A très bientôt pour d’autres RDV.
Pour les intéressés, se renseigner auprès du club des Croisés de Bayonne.
Quelques photos de la journée ici:
Aidons les clubs de football à se maintenir ! Aidons le football à garder ces valeurs fondamentales. ELI-S à procédé à la remise de chèques pour l’achat de matériel sportif à différents clubs de football du Pays Basque les 20 et 27 octobre 2014.
Au fil du temps, le football est un sport qui devient très (pour ne pas dire trop) populaire. Vous serez tous d’accord avec nous pour dire qu’il y a trop d’argent, trop de magouilles, trop de trop dans le football.
Les équipes deviennent des ennemis, comme en guerre, les arbitres deviennent des martyres seuls contre tous, les supporters viennent soutenir des guerriers dans une arènes…
ELI-S souhaite redonner au football ces vraies valeurs. Ainsi, nous éduquons les enfants à se respecter soi-même, à respecter l’autre et le matériel, les 3 règles fondamentales de l’association.
l’équipe adverse est un complément du jeu, sa présence est obligatoire pour le bon déroulement de la partie. Sans eux, il n’y a pas de jeu. Que l’arbitre est là pour éviter les graves blessures et le respect des règles, et que les supporters sont la pour encourager leurs équipes, leurs joueurs, et applaudir les belles actions, au final que le football n’est qu’un JEU.
Dans ce souci de solidarité, ELI-S aide les équipes à se développer. Nous avons réunis tous les présidents des clubs autour d’une même table, dans un moment de convivialité, pour montrer également qu’ELI-S agit pour tous, pour le football et pour les enfants.
Nous avons réunis les Lundi 20 et 27 septembre 2014 plusieurs présidents de clubs de football pour leur remettre des chèques d’achat de matériel pédagogique à dépenser chez notre partenaire Intersport Saint Paul les Dax.
Le journal du sport, également partenaire de l’association, en a profité pour évoquer son programme de Sport Avantage, destiné au développement local et solidaire des associations sportives (sport-avantage & lejournaldusport) représenté par Johann Léglise et Maxime Dargelos.
Au programme de ces réunions, nous avons présenté l’association ELI-S et ses méthodes de fonctionnement pour les enfants et les clubs, les objectifs éducatifs, nous avons procédé à la remise de chèque, parlé des projets humanitaire et solidaire et enfin, évoqué une ouverture sur l’avenir avec différents projets en devenir.
Pour rappel, chaque enfant qui participe à un stage de football ELI-S rapporte 15€ de bon d’achat à son club d’origine, au moment du stage.
Etaient présent, les présidents de:
> Hiriburuko Ainhara,
> Espelette,
> Arbonne,
> FC Hasparren,
> US Saint Palais,
> Ustarritz,
> Ardanavy,
> Garazi,
> Cambo,
> SA Mauléon,
> Tarnos,
> Croisés de Bayonne.
Manquaient à l’appel, les présidents de
> Arin Luzien,
> JA Biarritz,
> Genêts d’Anglet,
> Bidache,
> Saint Pée,
> Boucau.
Au total 3705€ ont été redistribués à l’ensemble de ces clubs.
Prochains stages ont lieu pendant les vacances de la Toussaint, l’occasion parfaite pour les clubs d’obtenir des chèques pour l’achat de matériel pédagogique pour leurs séances d’entrainements.
Adoptée par les écolos et les fans du bio, cette tendance n’est pas sans fondement. Allez, croqomiel.com vous explique quels sont vos avantages à consommer de saison et local.
Qu’est ce qu’un produit de saison exactement ?
Eh oui ! Pas si bête la question ! Puisque les saisons ne sont pas les mêmes selon qu’on se trouve au même moment en Australie, en France ou au Chili. Et difficile de s’y retrouver, lorsqu’on nous dit que l’ananas est de saison, alors que l’ananas ne pousse pas en France.
En fait, il faut distinguer à une période donnée les produits qui poussent en France et les produits qu’on trouve sur les étals. Car les fruits exotiques ne poussent pas en France naturellement, et sont donc importés. Ils poussent cependant selon une saisonnalité dans leur pays d’origine. L’ananas par exemple est un fruit d’hiver (l’hiver français). C’est donc la meilleure saison pour le consommer.
Lorsqu’on parle de consommer de saison et local, ce sont bien entendu les produits qui sont disponibles en France à une certaine époque de l’année et qu’il est intéressant de privilégier à ce moment là.
Pour voir les produits de saison actuellement, cliquer ici.
8 bonnes raisons de consommer des produits locaux et de saison
> Moins coûteux à produire, et à acheminer donc vendu moins cher au consommateur final, consommer des produits de saison, permet de consommer des fruits et légumes tout en veillant à son budget. Le produit pousse naturellement, pas de coût de chauffage de la serre et/ou des coûts de transport réduits puisque le produit ne traverse pas la planète pour venir à vous.
> Les produits subissent moins de traitements, puisqu’ils sont consommés plus rapidement qu’un produit qui doit faire le tour de la terre avant d’arriver dans notre assiette. On consomme donc un produit plus naturel.
> Plus d’avantage nutritionnels dans les produits de saison, qui sont consommés plus rapidement que les fruits importés. Plus le temps de transport est long, plus les fruits et légumes perdent de leurs intérêts nutritionnels.
> Plus de goût pour les fruits de saison, qui profitent d’une maturation optimale dans des conditions naturelles, adaptées au produit. (Soleil, irrigation, etc)
> On varie son alimentation et on découvre de nouveaux produits : c’est bon pour la santé et pour le moral, car on redécouvre la richesse de notre patrimoine local, et on met de la couleur dans son assiette.
> On favorise le travail des producteurs locaux et donc le dynamisme économique local.
> Limitation de l’impact carbone, grâce à une réduction des transports, notamment en avion, mais aussi en bateau.
> Le respect du rythme de la nature en fait un acte écologique : en suivant le rythme naturel, le fruit pousse tout simplement, sans besoin de traitement spécial, ni de dépense d’énergie supplémentaire. La culture sous serre implique un certain niveau de chaleur apporté artificiellement et donc une dépense d’énergie superflue.
Quels légumes consommer en quelle saison ? Tout (ou presque) est représenté dans le tableau ci-dessous.
Source: croqomiel.com & naturopathieenrhonealpes.com
ELI-S, grand partisans du soutien des enfants du monde, qui en a d’ailleurs fait se devise, travaille actuellement sur le développement d’un projet humanitaire au Nicaragua. Comment ? Pourquoi ? Toutes les réponses ici.
Situé en Amérique central, entre le Costa Rica et le Hondurras, et bordé par le Pacifique à l’Ouest à la mer des Caraïbes à l’Est, le Nicaragua, officiellement la République du Nicaragua, n’offre pas toutes les commodités que nous trouvons en France, à ces enfants.
Ce n’est que depuis 2009 que le pays est déclaré libre de l’analphabétisme, seulement 4e pays à le faire en Amérique central.
En 1990, le gouvernement du Nicaragua a ratifié la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (CRC), qui oblige l’État à rendre l’enseignement obligatoire jusqu’à l’âge de 12 ans et la scolarité gratuite. Même si la législation nationale du travail prévoit une autorisation parentale obligatoire pour le travail des enfants de moins de 15 ans, la réalité au Nicaragua a un autre visage. Selon de récentes études, environ 320 000 enfants âgés de 5 à 14 ans travaillent dans ce pays. Trois enfants nicaraguayens sur cinq sont employés dans l’agriculture, principalement dans des plantations de banane, de coton et de tabac.
D’autres trainent dans les rues de Managua, vendent de petits objets ou lavent les pare-brise pour quelques pesos. A Managua, près de 1000 enfants vivent sur «La Chureca», la plus grande décharge d’ordures de la ville, où ils recherchent de la nourriture et des matériaux recyclables qu’ils pourront vendre ensuite dans les rues de la ville. Des milliers d’enfants sans abri vagabondent sans nourriture, sans instruction et sans soutien familial dans les rues de la ville. La plupart d’entre eux sniffent de la colle pour oublier leur souffrance quotidienne. Selon des estimations de la banque mondiale, 8 à 12% des enfants âgés de moins de 18 ans vivent et/ou travaillent dans la rue au Nicaragua.
Notre programme s’oriente vers la ville de San Juan Del Sur, port de pêche situé au Sud Est du pays, dans le département de Rivas.
En contact avancé avec une association locale et la Maire de la ville d’environ 18.000 habitants.
Notre but est d’aider à la création d’un club de football local, toutes catégories confondues. Ce club sera un apport considérable pour les enfants de la ville, qui pourront s’adonner à une passion sportive.
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« La misère fait insulte à l’humanité. Si les pauvres ne peuvent gagner leur vie, c’est nous tous qui en sommes appauvris. » Kofi Annan___________________________________________________________________________________
Conscient que le sport local favori n’est pas le football, mais le Baseball, cette association offrira une diversité sportive.
Cela c’est rendu possible grâce à de nombreux clubs du Pays Basque et français, qui ont offert d’anciennes tenues. Les Croisés de Bayonne, Garazi, Urt, Ardanavy, Arin Luzien et de généreux donateurs privés (Notre partenaire Espacefoot et de personnes, telles que vous et moi).
Actuellement, nous avons récupéré plus de 300kg de vêtements short, maillots, chaussures, qui vont partir pour la création de ce club de football.
Le départ est programmé du 6 jusqu’au 22 décembre 2014. Pendant ces 15 jours, nous remettrons les vêtements, ferons des campagnes de sensibilisation et organiserons un stage de football pour promouvoir le club local.
Quelques photos de matériels récupérés:
Article rédigé par Maxime Dugay
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